Les proches d’Anna Biolay, la fille de Chiara Mastroianni, ont pris sa défense après qu’elle a été ridiculisée pour son aspect physique
Anna suscite l’intérêt de tous, à Cannes. Là pour présenter « Rosalie », la fillette de Benjamin Biolay a été critiquée en raison de son physique. Des remarques qui ont fortement irrité ses parents.
Les utilisateurs d’internet ont encore la capacité de manifester une indescriptible générosité lorsqu’il s’agit de critiquer le physique d’autrui, en particulier celui des femmes.
Anne, étant la petite-fille de Catherine Deneuve et de Marcello Mastroianni, a été facilement prise pour cible. Elle en a hélas fait l’expérience lors du Festival de Cannes.
Cependant, les liens familiaux ne justifient en aucun cas les railleries gratuites à propos de son apparence physique, dont elle est la cible depuis quelques jours.
Après avoir marché sur le tapis rouge, Anna a été l’objet de nombreuses critiques impolies, ce qui a mis sa famille en colère.
La tante de la jeune fille, Coralie, a écrit un long texte sur Instagram dans lequel elle fait part de son indignation : « Depuis une journée entière, ma nièce de vingt ans ne cesse d’être confrontée à des propos ignobles à son égard. En plus d’être « la fille de » et en plus de ne pas avoir de compétences particulières et de ne pas être obligée de travailler (bien sûr !), elle se fait traiter de chien ou même d’handicapée lourde… bref, elle est critiquée pour son physique et sa laideur et on lui refuse une place dans le monde du cinéma français. »
Elle a soutenu Anna en affirmant : « Cette jeune femme extrêmement émotive est bouleversée de lire des critiques aussi noires alors qu’elle a simplement été sélectionnée pour jouer dans un beau film grâce à son travail, sa persévérance et son talent indéniable (ce qui est essentiel !)… Je suis consternée de voir ce que certaines mères peuvent poster sur les plateformes sociales.
De son côté, le père de la fille a également exprimé son soutien à sa fille, dont il est extrêmement fier. Il a fait part de ces propos tenus par un enseignant de l’université de Cergy à l’encontre de la jeune fille. Il a appelé les universités parisiennes à se mobiliser pour dénoncer ces comportements inacceptables.
